Une petite bafouille pour vous racontez les péripéties de Will the D au Kustom Surfers 4
Le Will part donc à ce fabuleux événement qu’est le Kustom
Surfers.
(Pour rappel, un savant cocktail entre le monde du surf et le milieu du custom).
Et puis à 60 Km avant le Mans, le Will va pisser, sur une aire d’autoroute mais pas une aire avec station et tout et tout, non une aire d’autoroute avec juste un chiotte. Pile ce qui me faut !!!
Bref, soulagé par son dépôt, Will démarre la cox et là au bout de 2 mètres plus rien, calé, walou.
Qkezkizepassz !!! saloperie de bagnole allemante ?!!?
Will s’aperçoit quasiment aussitôt que c’est un fusible et donc confiant Will le remplace et làaa Schieser !!!! (chez pas si ça s’écrit comme ça, disons merde en français), le fusible repète Arrrhg !!!
Têtu, Will continu et remplace à nouveau le fusible et … rerepète !!!!
La Savora lui monte au nez et le Will décide de jeter un coup d’œil dans les branchements éléctriques.
Will débranche, rebranche, essaye l’essentiel (il faut dire j’ai un modèle de cox annèe 66, année charnière. Les schéma électriques s’arrêtant en 65 et reprenant en 67 il faut jongler avec les 2 à cela vous ajoutez un passage de 6 volt en 12 volt et vous obtenez un paquet de nouille incompréhensible et pas grand chose d’identifiable. Bref)
Et toujours les fusibles qui pètent …
Quelques coups de fils à des potes et 2 h30 plus tard, je fais passer un fil de 5 m de la bobine (du coffre) sur le toit direction la boîte à fusible.
Je mets un bout d’étain en guise de fusible justement (puisque épuisé par tous les précédents essaies). Et broumm c’est reparti.
Maintenant, le temps joue contre moi, puisque l’éclairage ne fonctionne plus.
Et puis pour rigoler j’essaye mon moteur qui est encore en rodage, je dépasse ma vitesse de croisière 110km/h. 120 ça grimpe, 130 ça grimpe, 140 je bloc le compteur et encore mieux le régime moteur augmente toujours, un truc de fou.
clic sur la photo pour voir plus gros
Bref je ne sais pas à combien je peux rouler au-delà des 140km/h, mais je suis resté scotché.
Après cette découverte, le Will arrive sans embûche à bon port sous un couché de soleil splendide.
Vendredi soir se terminant pour Will à 5h30 le lendemain matin, il passe une journée mi –figue, mi- zombie jusqu’à la course de mob prévu le soir.
Dans la journée débarquent des ricaines, des VW, des bécanes, dont certaines méritent l’attention.
L’après midi c’est le surf, mais là pas de chance les vagues en on décidé autrement.
Puis la soirée commence, et en piste pour la course de mob et là Will en fait encore un belle.
Gamelle dans le sable juste avant une chicane, la roue avant plantée dans le sable, j’avais mis du cœur à l’ouvrage pour rattraper les autres mobs étant partis dernier.
Trop manifestement, bref Will remonte en selle avec l’aide
d’un pote et redémarre, puis Will
sent une brûlure. Will continu et s’aperçoit que la fourche est tordu et
donc la bécane se conduit de travers, dans
le sable, et sa le
brûle putain !!!
Fin du 2ème tour, Will rend les armes et regarde
sa jambe ensanglantéeee.
Arhghhhh !!!!!!!
Une fois regagné le dortoir, pour rincer la plaie, une assistance médicale arrive en la
personne de Laurent (infirmier rocker) et de Mindie enfin je crois ( Tattoueuse, perceuse,
stérile strippeuse et crêpiste).
Un grand merci à vous 2, pour vos soins prodigués et
appliqués sur la personne de Will the D ce jour-là voir même vers l’infini et
au de-là.
La soirée est belle et bien entamée et foutue par la force
des choses.
Will rate l’essentiel de la soirée, les groupes sont passés,
Will retourne voir ce qui se passe
en bas et puis ça le lance, là dans la jambe.
Will à comprit, Will va se coucher, enfin il essaye.
Le Dj (Ludo enfin euh Viktor pardon) fait péter des groupes
de rock canon et les gars gueueles dans le micro bien pété eux aussi. Passé 3 h
du mat, je commence à m’endormir.
Quand 3 mecs débarquent bourrés comme des coings, il y en à
même un qui gerbe et dort dedans. Surpris, ses potes disent que ça daube, Will
ne sens rien ??
Certainement encore le nez bouché (ça n’a pas que des
désavantages).
Bref , les gars viennent pioncer dans les lits situer dans
le compartiment où Will s’était installé, pour éviter l’odeur de Vommmit.
Leur déconnade passés, une fois endormi, Will a assouvi sa
vengeance et a ronflé comme un v8 jusqu’au matin.
Les gars en question non pas fermé l’œil du reste de la
nuit.
Réveillé 8h30 et pas fatigué ?!?
Will doit décrocher ses tableaux, récupérer ses t-shirts,
book, enseigne…
Recharger la cox et petit-petit déjeuné avant de repartir
vers les 10h30/ 11h.
Démarrage de la chignole comme une horloge, et rentrado
amigo au bercaillos sans problemos.
Plus qu’à changer le premier pansement, avec le sang bien
coaguler dans les fibres Humm
un vrai régal.